Alors que le premier ministre lance un débat sur l'identité nationale via des «conventions citoyennes décentralisées», l'eurodéputé RN Alexandre Varaut loue la richesse du patrimoine spirituel et architectural français.
Trois ans après le début de la guerre en Ukraine, le groupe des Horaces* dénonce "une fuite en avant" fédéraliste, financière, diplomatique et stratégique dans une "économie de guerre", menée par ses alliés européens.
Le sommet des « principaux pays » européens sur l'Ukraine a révélé l'impréparation des dirigeants face à la nouvelle donne géopolitique. Le retour de Donald Trump et le rapprochement russo-américain marginalisent l'UE, analyse le cercle de réflexion Les Horaces*.
La France veut se doter d'une stratégie spatiale nationale. Il y a urgence tant le pays risque le déclassement...
Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche rebat les cartes de l'économie mondiale. Si l'on peut saluer son patriotisme, il ne faut pas oublier qu'il incarne un protectionnisme assumé et une approche purement transactionnelle des relations internationales. Son unique boussole : l'intérêt américain, quitte à fragiliser ses partenaires. Face à cette nouvelle donne, l'Europe et la France ne peuvent plus se permettre l'attentisme : il est temps d'anticiper, de s'adapter et de défendre nos intérêts avec la même détermination.
Le député européen RN Christophe Bay appelle à "cesser d'être un paillasson diplomatique et économique pour l'Algérie".
L'exercice est rituel, souvent convenu, aujourd'hui bien décevant. Les vœux aux armées d'Emmanuel Macron n'ont été qu'une succession de belles phrases, de fortes intentions écartelées entre le mantra de la défense européenne et l'Otan, entre ambitions affirmées et réalité de nos capacités opérationnelles, entre satisfecit adressés à tout-va et retraite piteuse d'Afrique, selon les Horaces, groupe de conseillers de Marine Le Pen.
Alors que d'aucuns réitèrent une myriade de petites mesures destinées à rogner le modèle social français et à accroître encore le niveau des prélèveme...
L'image est forte : mardi 19 novembre, une quarantaine d'agriculteurs est venue protester, avec un troupeau de brebis, aux portes d'une concession d'a...
Affirmer que notre système éducatif va mal est devenu un truisme. A l'instar d'autres services publics l'école connait une sorte de lent affaiss...
« C'est une circulaire de fermeté et je l'assume totalement ». C'est par ces mots que Bruno Retailleau présentait sa circulaire d'admission exceptionnelle au séjour (AES) abrogeant de facto la fameuse circulaire Valls dite « de régularisation ». De concert, gauche bobo et intelligentsia des patrons en vue ont poussé des cris d'orfraie à l'idée de ne plus trouver sur le marché du travail employés de maison, cuisiniers et autres plongeurs… Mais les postures de fermeté font-elles les actes ?
Il faut un sursaut national et un engagement politique fort afin de retrouver l'indépendance numérique de la France.
Subrepticement, le Parlement européen et la Commission d'Ursula von der Leyen étendent leur champ de compétence, tordant au besoin le droit. Ceci se fait au détriment de la souveraineté des nations, avertit Pascale Piera.
Déficit record, explosion des taux d'intérêt, taxation tous azimuts… Si l'ex-ministre de l'Économie rejette toute responsabilité dans le dérapage des comptes publics, selon le cercle de réflexion Les Horaces*, son bilan prouve pourtant tout l'inverse.
Le courant historiographique de la global history (histoire mondiale) met en avant les connexions historiques entre les civilisations, au détriment des particularités nationales. Ce récit globalisé permet ainsi de réviser les chronologies perçues comme européanocentriques, et d'insister sur une interconnexion mondiale des événements historiques.
Il y a des silences qui assourdissent, des tabous qui étouffent, des convenances qui finissent par trahir l'idéal même qu'elles prétendent protéger. C...
Depuis plus de vingt ans, la Commission européenne, qui a la compétence exclusive pour négocier des accords commerciaux avec des pays tiers, s'a...